Jacques Marseille

Publié le par Jean Christophe Bataille

 

 

 

 

Une fois n'est pas coutume, je fais la promotion d'un livre :

 

Les bons chiffres pour ne pas voter nul en 2007

 

Il s'agit du dernier ouvrage de Jacques Marseille, professeur à l’université de Paris-I Sorbonne, directeur de l’Institut d’histoire économique et sociale.
Très documenté, il dresse une cartographie de nos peines en s'appuyant sur des statistiques parfois étonnantes. C'est un regard lucide et intelligent sur ce que nous sommes devenus. Le propos reste optimiste. A lire absolument.

 

 

Publié dans Politique

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U
c'est un monsieur dont les propos me sont accécibles ,et agréables
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O
je ne connais pas... mais intéressant de prime abord, même si je en vis pas en France et que je n'y vote pas.
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P
C'est un type que j'aime bien ,Intelligent,ouvert et pedagogue.il en faudrait un paquet comme lui.
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Z
Coucou<br /> <br /> Le grand Professeur~~~<br /> <br /> <br /> Il est plus souvent sujet a polemique....<br /> <br /> Mille bisous et Bonne nuit
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M
Alors, Jean-Christophe, après avoir lu le bouquin de Marseille, peux-tu nous dire pour qui il ne faut pas voter pour ne pas voter nul? <br /> <br /> Je ne connaissais Marseille que de nom et par les titres de certains de ses bouquins. J'ai effectué une très courte recherche et je suis tombée sur un site qui s'appelle Wikibéral. Si mes souvenirs sont bons, Marseille y est qualifié d'"anarcho-libéral". Le mot me plait, la réalité qu'il recouvre je ne la connais pas.
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J
Marseille est effectivement plutot libéral mais il dresse surtout un constat intelligent de l'état de la France sans parler de la langue de bois. Il me semble plutot sarkoziste bien que le programme de Sarkozy soit à mon avis très loin d'être libéral. On trouve dans le programme de l'UMP l'accompagnement très strict des chômeurs pour lutter contre les trappes à chômage et le maintien ou l'augmentation des allocations Assedic selon la flex-sécurité danoise, un interventionisme d'état (lors du sauvetage d'Alsthom), la préférence commerciale communautaire, l'opposition à la privatisation de Suez, une baisse des prélèvements obligatoires qui ne dépasserait pas 2%. etc ... L'importance actuelle de la redistribution fiscale et sociale et surtout le phénomène de discrimination-exclusion ne permet de toute façon absolument pas le passage vers une économie libérale à l'anglaise et Sarkozy qui est tout sauf un idéologue l'a semble-t-il parfaitement compris.